LA FIN D’UN SYSTEME 1962 – 2014

Tous les signes annonciateurs d’un effondrement imminent du système sont réunis. Ces derniers mois,d’innombrables contradictions et antagonismes se sont révélés au grand jour . La prochaine échéance électorale devenue clownesque est vidée de son enjeu.

La contestation de la rue est grandissante et le fossé qui sépare les gouvernants et les gouvernés se creuse davantage de jour en jour. Le mécontentement s’élargit à toutes les couches de la population de l’Est en Ouest et du Nord au Sud.

Un ministre, chiyate, spécialisé en caresses et brossage, insulte ouvertement le peuple hostile à son clan. Le premier ministre, à son tour, insulte grossièrement la population chaoui et provoque un désordre dans la région des Aurès et des zones avoisinantes.

Ghardaïa est une région en ébullition. Elle est le théâtre d’affrontements mortels entre communautés ethniques et religieuses différentes. Le système; en mal de légitimité, n’ arrive pas à y instaurer l’ordre et la sécurité.

Alger ressemble à un volcan, la société civile et surtout la jeunesse assoiffée de changement défient perpétuellement la peur et le système en entier. Les jeunes, qui constitueront les principaux acteurs du changement, s’organisent et se structurent aux quatre coins du pays.

La population touareg manifeste des signes de mécontentement et se sent marginalisée. Les garde communaux se sentent trahis .Ils crient-leur ras le bol et s’approchent de la révolte .

L’actuel président (qui sera aussi le prochain) est impotent et aphone .Une simple parole, ou balbutiement ou mouvement du bras créé l’évènement. Dès qu’il prononce un mot, avec sa voix inaudible presque aphone, ses filleuls expriment de la joie telle celle d’une mère face à son bébé.

Le conseil constitutionnel valide une candidature inéligible et ferme l’œil sur un certificat médical de complaisance.D’autres maux gangrènent la société .La grande et la petite corruption se sont généralisées. L’économie est décadente et les réserves pétrolières s’amenuisent.

Un fossoyeur de l’histoire, qui excelle dans le baisemain, s’attaque déloyalement à un martyr et symbole de la révolution sans que les moudjahidines faussaires inscrits au niveau du fichier national ne réagissent.

Un ancien drabki et faux diplômé en Sciences boulitiques s’attaque frontalement à une structure de la grande muette sans qu’il ne soit inquiété ou interpellé. Des généraux en retraite sortent de leur silence et réserve habituelle pour se positionner.

Tout fonctionne de travers. L’Algérie actuelle, est à l’image de son Président, très malade, irritable et instable. Les symptômes d’un proche effondrement du système sont visibles.

Par Hocine LALI

les chômeurs a ouargla traites de terroristes secessionnistes, le étudiants traites de h`mirs, les chaouis hacha rezk allah, inaal bou limayhebnach!! essalat est une IHANA pour l`homme, il ne faut pas manger le yaourt, laisse ton chien avoir faim pour mieux te suivre etc....c`est plus que suffisant pour qu`ils finissent comme el gueddafi et ses enfants